Périple

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vendredi 1 mai 2015

Puno, le lac Titicaca et ses îles.

Hola amigos!

Nous voila enfin au Pérou! Nous passons la frontière comme prévu aux alentours de Puno, deuxième plus grande ville touristique du pays, au bord du lac Titicaca. Après une petite larme versée de la part de Pauline (des frissons la traverse quand nous passons la frontière, "enfin on y est !!"), nous découvrons la fameuse Puno. Grande ville d'environ 120 000 habitants, elle est en fait surtout réputée pour les îles qu'elle ralie chaque jour en bateau. Nos premiers sentiments concernant la ville sont mitigés, comme d'habitude on trouve que c'est un peu le bordel! La plupart des batîments sont en briques, dépourvus de peinture et bon nombres d'immeubles aux alentours du centre sont restés à l'état de chantier. Ca grouille dans tous les sens et on se sent de nouveau un peu perdus après notre séjour à Copacabana (trois fois moins grande).


Mais on fait ici la découverte d'un nouveau moyen de transport assez folklorique: le mototaxi ! Prenez l'avant d'une moto et ajoutez-y l'arrière d'une petite voiture et vous obtiendrez ce véhicule hybride. Sans oublier les autocollants géants du style Marvel (Spider-man, Hulk et compagnie) sur la "carosserie". Nous essayons volontiers ces calèches d'un nouveau genre pour nos petits déplacements dans la ville, le résultat est toujours le même : on se marre! La ville est remplie de ces mototaxis auquels s'ajoutent les habituels taxis, colectivos ou encore des "tricycles taxis" (sorte de tricycle géant sur lequel peuvent s'assoir jusqu'à deux personnes...les chauffeurs ont de sacrés mollets !). On dirait que c'est un peu l'anarchie au centre ville, ça klaxonne de tous les côtés, les voitures doublent à tout va et les mototaxis se faufillent un peu partout, autant vous dire qu'on aimerait pas conduire là dedans et qu'il faut se méfier un peu avant de traverser, priorité aux voitures!


Bref, nous trouvons notre auberge et nous commençons comme d'habitude à grapiller les infos nécessaires pour profiter au max de notre séjour ici. On découvre au centre ville la belle place des Armes de Puno où s'élève une grande et belle cathédrale baroque. Nos premiers échanges avec les péruviens sont agréables, les personnes souriantes, on commence alors à prendre nos marques dans cette ville au premier abord pourtant austère.


Nous décidons de commencer nos visites par un petit village très rural à quelques kilomètres de Puno. On a besoin de respirer en pleine nature et loin des touristes...Ichu sera le lieu idéal ! Après une quizaine de minutes en colectivo nous arrivons à Ichu, minuscule village, sans magasin ni même véritable épicerie. Les maisons sont toutes en adobe, entourées de champs ou de terrains en friche squatés par des moutons, des cochons, des ânes ou encore des vaches. Nous repérons le chemin de la rando que nous voulons faire, il traverse une vallée verdoyante parmis les exploitations de quinoa, de patates ou de fourrage avant de monter sur une colline où des ruines pré-incas offrent un superbe point de vue.


Les paysages sont superbes, l'ambiance tellement typique, nous croisons de nombreux villageois en train de travailler dans les terres. Les femmes sont toutes en habits traditionnels : de grandes jupes de couleurs vives leur arrivant en bas des genoux, des tissus ou des pulls en laine d'alpaga colorés et bien sûr de jolis chapeaux (obligatoires pour travailler toute la journée en plein soleil à cette altitude). On est contents d'échanger nos premiers "hola" avec ces autochtones, on profite bien de cette première balade! En arrivant aux restes du temple inca, on se régale encore plus, la vue est magnifique. D'un côte l'immensité du lac Titicaca et de l'autre cette petite vallée verdoyante surplombée par quelques pics rocheux et collines en terrasses multicolores. L'endroit est calme, tranquille, c'est exactement ce qu'il nous fallait !


Une fois redescendus de notre petit nuage et de notre mirador, nous prenons un deuxième collectivo pour rejoindre Chucuito. Petit village de 1000 habitants, Chucuito abrite un curieux temple de la fertilité pré-inca. Après avoir mangé une truite à la plancha dans un petit cabanon local (croisons les doigts pour ne pas être malades!), nous arrivons devant ce fameux temple...et découvrons, avec stupeur, une trentaine de phallus géants en pierre ! Le plus grand d'entre eux mesure 1m20 ! Ah quand même ! Mais quelle drôle d'idée ! La rumeur locale raconte que les jeunes filles viennent s'assoir dessus pour accroitre leur fertilité. Pauline se prête au jeu et réussi, après plusieurs essais, à s'assoir sur l'extrémité du plus grand. Drôle de déliré ! En tout cas on rigole bien.


Retour à Puno après cette première journée bien réussie et placée sous le signe de l'authenticité et de la bonne humeur ! Moyens de transport locaux, zéro touriste croisé, de vrais beaux sourires authentiques, de superbes paysages ruraux...tout va bien ! Nous allons donc maintenant gouter les premiers mets péruviens dans un bon resto, ça sera spécialité à la viande d'alpaga pour Pauline (qui fermera un peu les yeux en mangeant sa première bouchée) et un bon pavé de boeuf pour Alex...le cochon d'inde attendra!

Lors de notre deuxième journée, nous partons en bus touristique (bouuuuuh) visiter Sillustani, petit hameau touristique aux abords du lac Umayo surplombé par une grande colline ou se dessinent d'étonnantes tours en pierre. "Mais qu'est ce que c'est encore ce truc...?"
Les Collas, un peuple aymara (peuple pré-inca) ont choisi d'enterrer leurs nobles dans des tours funéraires dans lesquelles ils plaçaient de nombreuses offrandes (nourriture, biens), et même parfois les serviteurs des nobles sacrifiés, pour accompagner leurs défunts vers l'au-delà (sans parler des sacrifices de lamas...). Avec l'arrivée des incas, ces tours furent préservées et améliorées. Suivant une autre méthode, les incas batîrent de nouvelles tours. A la différence des collas qui utilisaient de nombreuses petites pierres qu'ils sellaient avec de la terre, les incas eux ont constuit leurs tours avec d'immenses blocs de pierre volcanique ou de craie qu'ils taillaient et polissaient une fois l'édifice construit. La forme cyclindrique en cône est parfaitement réussie, la construction ingénieuse et le rendu esthétique, encore un prodige des incas! La plus haute tour atteint 12 mètres de haut pour 7 mètres de diamètre! Le lieu est assez magique, les tours façonnent le paysage et l'immense lac d'Umayo apporte un peu de spiritualité autour de ce cimetière atypique.


Sur le chemin du retour nous avons le droit à un arrêt spécial touriste dans une maison en adobe "typique" péruvienne. Des lamas, guanacos ou alpagas sont attachés devant l'entrée de la propriété. Des bonnets, écharpes et tissus en tout genre sont à vendre dans le jardin, où les familles proposent aussi de faire gouter quelques aliments typiques qu'elles cultivent ou réalisent. Nous jouons le jeu et goutons quelques mets. Attrape touriste ! Nous craquerons pour un fromage frais de vache ! Plutôt que de repartir avec notre bonnet, porte-clefs ou je ne sais encore quoi, nous demandons au propriétaire de lui acheter un de ses fromages que nous venons de gouter et repartons avec un fromage entier que nous dégusterons avec une salade de tomate, le soir à l'auberge avec du "pain" et un bon rouge péruvien! Parfait pour l'estomac, et pour préparer nos prochaines journées, la visite des îles du lac Titicaca.


De nombreux tours-opérateurs proposent une visite des trois iles Uros, Amantani et Taquile sous la formule deux jours / une nuit chez l'habitant. Après nous être renseignés sur les détails du programme des tours auprès d'une agence...nous achetons notre billet de bateau pour le faire en autonome ! On est pas des pigeons ! :) Le bateau lève l'ancre le matin en destination des îles Uros. Très réputé, cet ensemble d'îles flottantes (les gourmands imaginent à ce moment là le dessert au caramel...mais non !), bati à partir de roseaux légers appelés totoras est en fait une usine à touristes. Ces îles originales construites à partir des roseaux qui poussent en abondance au fond du lac ont été à l'origine édifiées par les Uros voulant se protéger des envahisseurs incas. Elles ne forment aujourd'hui rien d'autre qu'une "ville flottante" composée de dizaines d'îles accueillant les bateaux touristiques à tour de rôle et offrant quelques explications sur leur technique de construction avant de passer aux achats de souvenirs. D'après certains locaux, il n'existait au début que trois ou quatre îles flottantes, mais en découvrant le potentiel touristique de ces dernières, elles ont alors dangereusement proliférées ! Nous restons un peu sur notre faim après ce premier arrêt, bien que ces constructions ingénieuses et originales restent un lieu incontournable. Nous jouons donc le jeu de la photo souvenir ! :)


Après deux heures de bateau supplémentaire, nous arrivons sur Amantanì vers midi. Nous sommes pris en charge par une famille locale qui nous offrira logis et couverts jusqu'au lendemain matin. Le tourisme responsable est en expansion ici, et permet à de nombreuses familles de paysans d'améliorer leur niveau de vie. Là où nous logeons, il n'y a pas d'électricité ni d'eau courante (un seul robinet pour toute la maison), mais l'échange et la découverte de la culture quechua est intéressante. Après une bonne soupe de quinoa et quelques patates en bouche, nous partons balader sur l'île pour grimper sur les deux plus hautes collines et visiter deux ruines pré-inca : Pachamama (Terre Mère) et Pachatata (Terre Père). Ces deux sites sont d'origine Tiahuanaco, une culture essentiellement bolivienne qui naquit aux alentours du lac Titicaca entre les années 200 av.JC et l'an 1000. Il s'agit de temples construits afin de vénérer les dieux de la nature et favoriser leur clémence pour de bonnes récoltes et une bonne santé.


Le paysage est splendide, nous montons entres les cultures en terrasses sur un chemin en pierre, croisons bon nombre de locaux partant pour leurs champs avec leurs ânes ou redescendants leurs moutons. Seuls touristes pour le moment nous arrivons avec un peu d'avance sur les tours aux deux ruines pré-incas. Le point de vue est fou, au milieu du lac Titicaca, dans un calme complet nous admirons les terrasses des cultures, héritage des incas, qui donnent un aspect élaboré et esthétique à l'ensemble des collines. Le Machu Picchu se fait sentir de plus en plus ! Nous redescendons au moment où les touristes montent pour admirer le coucher de soleil, pour nous ce sera le coucher de soleil en bas, sur la plage, au bord du lac.


Après une nuit agitée à cause d'un peu de grèle et beaucoup de pluie, nous partons le lendemain matin pour la dernière île à visiter : Taquile. Nous resterons trois heures sur cette petite île charmante à arpenter les vestiges incas et monterons les 500 marches menant au centre du village. Nous avons apprécié Taquile mais elle restera un peu moins belle à notre goût que sa voisine Amantanì, qui nous a semblée plus authentique et reculée.


Le retour vers Puno s'approche, nous remontons sur le bateau et naviguons trois heures avant de retrouver la côte. Si-tôt arrivés, si-tôt repartis ! Nous sautons dans un collectivo pour partir explorer la péninsule de Capachica, où se cachent, à priori, plusieurs petits villages reculés de paysans et de pécheurs. Les deux bonnes heures de transport sont folkloriques ! Nous sommes les seuls touristes au milieu des locaux, tous entassés dans notre petit collectivo (seul moyen de tranport régulier pour se déplacer d'un village à l'autre). Nous, avec nos gros sacs à dos et eux, avec leurs cargaisons de légumes, laine ou encore même carcasses d'animaux. Nous arrivons à Llachon à la nuit tombée aux alentours de 18h. Nous savons qu'il existe des logements chez l'habitant mais comme d'habitude nous n'avons rien prévu. Le chauffeur du collectivo nous demande alors si nous savons où dormir, nous répondons que non mais que notre guide (Lonely Planet !) nous recommande un certain Félix. Le chauffeur approuve ce choix et nous propose de nous amener chez le fameux bonhomme pour quelques soles en plus. Nous acceptons et filons à une paire de kilomètres du centre du village pour arriver chez Félix. Le premier contact avec lui est super, nous demandons à loger chez lui, il accepte, mais au moment de demander le prix, nous nous rendons compte que nous n'avons plus beaucoup de liquide, et les seuls distributeurs d'argent sont à Puno ! On est tellement dans le jus qu'on oublie parfois quelques minuscules détails qui peuvent êtres relativement embétants... Pas de problème ceci dit, le gentil propriétaire nous fait une bonne réduction de 30% ! On aura assez pour payer Félix et rentrer à Puno le lendemain, super !


Félix a commencé à s'intéresser au tourisme il y a 14 ans et a transformé sa propriété en auberge. Le lieu est splendide, aux premières loges sur le lac Titicaca, la maison en pierre recouverte de fleurs offre une grande terasse et des chambres spacieuses et...de l'électricité, de l'eau courante et même une douche chaude (chauffée à l'énergie solaire) !  Il est avant tout paysan (et travaille toujours la terre une partie de ses journées) mais il a compris l'intérêt qu'offre cette péninsule pour le tourisme et a su en tirer profit.
Dans un cadre rural, calme, typique et magique le nombre de touristes chaque année ne cesse d'augmenter et permet à certaines familles de Llachòn de disposer d'un revenu plus important que celui de l'agriculture et ainsi améliorer leurs conditions de vie. Le tout grâce à un tourisme responsable et écologique ! Bien qu'il faille se méfier de certains tours-opérateurs qui viennent visiter la péninsule, qui "s'engraissent" mais ne reversent que très peu à l'économie locale.
Les échanges avec Félix sont riches et authentiques. Il nous confirme l'essor du tourisme autour du lac Titicaca et le profit des agences touristiques sur les familles de paysans qui ouvrent leurs portes aux visiteurs. Les tours paient à peine le prix du repas aux familles qui accueillent et nourrissent les touristes. Nous sommes alors fiers de lui dire que nous avons choisi de faire la visite des îles du lac en indépendants et que nous avons payé les familles en mains propres pour leurs services.
Le bonhomme nous racontera quelques anecdotes sur les cultures quéchuas et aymaras, nous offrira de bons repas et de nombreux sourires. Nous sommes conquis, tout est magique ici, l'ambiance, le lieu, les gens...au top ! Nous visitons dans la matinée du lendemain des ruines pré-incas situées sur la colline la plus haute du village. Nous baladons trois heures, passant d'une terrasse à une autre parmis les moutons, seuls au monde sous un soleil éclatant.



Pour rejoindre "la casa de Félix" nous traversons encore un petit hameau de maisons en adobe magnifiques avant de rejoindre la plage du lac. Rien de tel pour rentrer déjeuner que de longer, les pieds dans l'eau, une dernière fois le fameux Titicaca (un peu froid pour envisager un baignade) ! Après avoir mangé, rangé nos sacs, remercié trois fois Félix et sa femme, leur avoir offert deux Tours Eiffel, nous repartons de Llachòn pour rejoindre Capachica, lieu de transit de tous les collectivos.


Une dernière étape s'ajoute avant de retourner vers Puno et de cloturer notre séjour péruvien au bord du lac Titicaca. Il y a un hameau de 24 habitants nommé Chifròn à 20 minutes en mototaxi de Capachica. Le lieu offre un point de vue depuis le côté nord de la péninsule et, d'après la rumeur, une des plus belles plages. Ni une, ni deux nous sautons dans la première calèche moderne pour un transfert très drôle jusqu'à la plage de Chifròn. Après avoir été secoués dans tous les sens sur les routes en terre, nous restons une petite demi-heure sur la plage tranquille du hameau et profitons de nos derniers moments sur cette péninsule paradisiaque. Puis, nous remontons avec notre chauffeur et sa moto pour retourner à Capachica d'où nous reprenons un colectivo pour regagner Puno.


Ravis de notre séjour sur la péninsule, nous chargeons nos sacs sur le mini-van et attendons qu'il se remplisse. Soudain, il vient à Alex l'idée d'acheter sur la place principale de Capachica un sachet de maïs soufflets. On a vu la veille plusieurs locaux grignoter ces petits trucs à l'apparance de pop-corn, ça semblait si bon ! L'achat effectué, nous mangerons quasiment tout le sac sur la route avant d'arriver à Puno. Mais cet achat fut L'ERREUR de la journée, de la semaine même ! Bien entendu, lorsqu'on achète de la nourriture dans la rue, la plupart du temps, celle-ci n'est pas conditionnée sous vide ni même néttoyée avant d'être emballée à la main dans des sacs...vous sentez venir le truc ?
Bon, comment dire...? Arrivés à Puno, nos sacs sur le dos et descendus du collectivo, le ventre de Pauline déclare l'état d'urgence national ! Nausées, maux de ventre..."Il faut rentrer à l'auberge le plus vite possible Alex ! Trouve un taxi vite !!!" En effet, c'était moins une ! Une fois arrivés à l'auberge le résultat est là, une bonne infection alimentaire, ou plus connue sous le nom de tourista ! dûe à ces conneries de maïs soufflets. Bien joué les loulous ... on se relache et on se prend pour des péruviens...voilà le résultat ! Heureusement, Alex n'a pas eu de gène, LUI (y'en a qui ont de la chance!)("Beau gosse" B-)) et a pu prendre soin de sa belle comme il le fallait! La nuit sera un peu rude et LONGUUEEEE !

Voici les coupables !



Cette soirée mouvementée aura cloturée notre séjour à Puno. Le lendemain (30 avril) nous embarquons pour la grandiose ville d'Arequipa, le ventre de Pauline va mieux (merci les medicaments apportés de France) et nous prévoyons de rester une semaine autour de cette région. A la clé : visite de la ville coloniale, treks dans le deuxième canyon le plus profond du monde, et peut-être, ascension de volcan !

Voici l'album de la semaine : ---> Cliquez ici <---

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Mil Besos du Pérou !!!

2 commentaires:

  1. Coucou les gringos !!!
    Je vois que tout va bien dans votre voyage :) . J'avais du retard sur le blog ( oups ) et j'ai tout lu d'un coup ( ça m'a prit 30 mn :D ; le passage en Bolivie, j'ai bien vu que ça vous a trop saoulé vu la masse de texte sur les conditions du trek en 4x4 (ou plutôt 2x4 lol) mais ça fait parti du voyage et ça fait des souvenirs). Je vais arrêter avec les parenthèses ( c'est chiant en fait ), d'ailleurs j'avoue que c'est très bien écrit votre blog, il n'y a presque pas de fautes ( et oui, il y en a ! ) et y'a même des verbes que je connais pas.
    Le rocher du coyote est magnifique avec la vue de malade. Sur vos photos j'espère qu'il y a une plateforme juste en bas parce que ça avait l'air assez dangereux sinon :).
    Pauline, le dieu du phallus est avec toi maintenant :D. Tu as reçu la visite du dieu de la tourista aussi, j'espère que ça va mieux pour que vous puissiez continuer!
    Alex, ton pull est à ravir, tu es un vrai péruvien, tu peux te fondre dans la masse incognito :), je taquine !
    Allez bisous à vous deux. Et j'espère voir bientôt le fameux machu pikachu !!

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  2. Coucou les loulous,

    Vos premiers pas sur le sol Péruvien vous ont beaucoup plu par son authenticité et les échanges très riches avec Félix.
    A travers votre blog, nous partageons vos aventures et nous ressentons tout le bonheur de découvrir ces
    lieux si dépaysants et très accueillants.
    Découverte des mets péruviens avec un petit bémol pour le maïs soufflé mais Pauline a pu tester les capacités d'Alex ...... pour prendre soin d'elle.
    Je pense que cela est déjà oublié et que Pauline est OK pour le prochain trek.
    Ce voyage est vraiment super et inoubliable et les rédacteurs sont au top. Merci de nous faire partager tant d'émotions.
    GROS BISOUS et à bientôt

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